TVlocales

TéléAlsace : seule la plate-forme Kewego subsite encore

Le Groupe Hersant Média (GHM) a ferméTéléAlsace le 30 septembre, une chaîne lancée en 2006, faute d'avoir réussi le pari de la TNT. Le site internet n'existe plus; On peut encore voir des images de la défunte chaîne sur la plateforme Kewego

Triste finpour les salariés de Téléalsace qui n'ont pas démérité dans leur couverture de l'actualité locale. Mais voilà, GHM a fait le choix "d'un recentrage de moyens" sur d'autres chaînes en France. Le groupe se positionne notamment sur la Côte d'azur. En Alsace, le  choix de l'alliance avec Alsatic TV n'ayant pas porté ses fruits (malgré une tentative de création d'une société commune, A.Télé) GHM en a tiré une conclusion : pas de place pour deux !

Il faut dire qu'Alsatic TV, créée après TéléAlsace, par les quotidiens les Dernières Nouvelles d'Alsace (DNA) et l'Alsace, a rafflé la mise : la TNT à Strasbourg et Mulhouse. Malgré ses 7,3 % d'audience, soit en moyenne 22.000 téléspectateurs chaque jour, la première chaîne régionale du câble s'est donc éteint définitivement le 30 septembre. Première victime de la TNT ! 

Souvenir de Téléalsace ici : http://telealsace.telealsace.kewego.fr/

Nomination à la Publicité & Communication de TVFIL 78

Sandrine Miguirian a été nommée Responsable de la Publicité & de la Communication de TVFIL 78.

Elle est en charge de la mise en place de la politique en matière de publicité et de partenariat ainsi que de la communication de la chaîne. TVFIL 78, télévision locale de Saint-Quentin-en-Yvelines et des communes associées, diffuse sur le réseau câblé de Numéricable, sur Orange, en temps partagé sur Télif et est partenaire de NRJ Paris. La régie publicitaire nationale est gérée par TF1 Publicité.

TLM, TéléGrenoble, TV 8 Mont Blanc et TL7 diffuseront les débats de la région Rhône-Alpes

Les quatre chaînes diffuseront la fin des séances d’assemblée plénière composée des “Questions d’actualité” et de deux débats thématiques. Pour la première fois, une région recourt aux moyens mutualisés de quatre chaînes locales.

TLM (Télé Lyon Métropole), Télé Grenoble, TV 8 Mont Blanc et TL7 (Loire/Saint-Etienne) succèdent à France 3 Régions qui n’a pas souhaité renouveler l’accord de diffusion avec la région. “On couvre malgré tout près de la moitié du territoire rhônalpin et pour conforter notre audience nous avons intégré le principe des débats qui seront multidiffusés” indique Cédric Le Déaut, directeur de la communication de la région à la Gazette des communes.

Les Questions d’actualité, d’une durée de 52 minutes, comprendront quinze questions posées à l’exécutif régional par les représentants des sept formations politiques régionales. Elles seront suivies des deux débats de 26 minutes avec quatre élus (deux de la majorité et deux de l’opposition) enregistrés dans les conditions du direct.

La première émission aura lieu le 26 septembre, avec deux débats prévus sur l’éducation/formation et les personnes handicapées. L’accord de diffusion entre la région et les quatre chaînes portent sur huit séances pour un budget de 226.000 euros.

Libération décrypte les retraits de Hersant à Orléans et Strasbourg

"Hersant Média est-il en train de se désengager de la télévision locale après y avoir massivement investi ?". La question est posée par Libération dans son édition de jeudi. Non, répond le Groupe Hersan Média (GHM) : "on y va seulement si c’est viable"

Le quotidien renvient sur le retrait de TéléAlsace et d’Orléans TV. La première va disparaître du PAF alsacien : GHM ayant perdu dans la course à la TNT face à Alsatic TV, le groupe ne voit pas de rentabilité sur le câble. A Orléans, Hersant se retire du tour de table.

"Souvent envisagée comme une nouvelle source de revenus pour les quotidiens de presse régionale, la télé locale semble ne pas tenir toutes ses promesses", écrit Libération qui a interrogé les acteurs des dossiers TéléAlsace.

Dans le cas d'Orléans TV, Libé laisse entrevoir un désaccord de fond avec les actionnaires. Montré du doigt, la stratégie de syndication des programmes. Ainsi Serge Bidault, le directeur général d'Orélans TV déclare : «Tous les actionnaires s’opposaient à la volonté de Hersant d’imposer des programmes comme le télé-achat, Anne Roumanoff ou Au théâtre ce soir. Après ce départ, on y voit plus clair.»

Chez Hersant, on explique : «Nous sommes pour la survie des médias de proximité, insiste un cadre du groupe, Mais avec des grilles et un ensemble de contenus communs.»

C'est donc un recentrage qu'opère le groupe pour ce concentrer sur les chaînes où il a la main et sur les appels à candidature du CSA sur d'autres territoires, comme la région PACA. «On peut comprendre que pour le groupe, qui est le seul à se lancer à cette échelle dans les télés locales, il fallait faire des arbitrages», réagit, dans l'article de Libé, un ancien cadre de TéléAlsace.

Lire l'article ici.
Et sur le cas de chacune des deux télévisions locales, voir les post produits par les journalistes de Libération Stragsbourg et Orléans.

Canal 10 (Guadeloupe) : nouveau projet de convention

Après avoir statué favorablement, le 11 décembre 2007, sur la possibilité de reconduire, hors appel aux candidatures, l’autorisation de la chaîne locale guadeloupéenne Canal 10, le Conseil a adopté un nouveau projet de convention.

Un ancien de Canal Cholet sur M6

Vincent Couëffé, petit nouveau sur M6, remplace Estelle Denis depuis hier à la présentation du magazine dominical “100% Foot”

Première sur M6 dimanche 14 septembre pour Vincent Couëffé. Agé de 34 ans, le journaliste a été repéré sur l’Equipe TV. Mais ses débuts, il les a fait à l'antenne de Canal Cholet. C'était en 1996. Deux ans sur le Journal des Sports de la chaîne locale.

Vincent Couëffé assure désormais à la fois la présentation de "100% Foot" et la rédaction en chef du magazine.

Les locales préoccupées par l'augmentation de la pub sur TF1 et M6

Le Groupement pour le Pluralisme des Médias, qui réunit des acteurs majeurs de la télévision (TNT, locale, câble et satellite), de la radio, ainsi que de la presse écrite a rencontré le Cabinet du Premier Ministre  vendredi 12 septembre, et a fait part de ses vives préoccupations concernant le projet d'augmentation de la publicité sur les chaînes « historiques » TF1 et M6.

L'impact publicitaire, engendré par le projet de décret du Gouvernement permettant l'augmentation de la publicité sur TF1 et M6, dépasserait les 500 millions d'euros.

Lors de cette audience, les membres du Groupement pour le Pluralisme des Médias ont souligné les quatre points suivants :

"1 - Alors que Madame Christine ALBANEL, Ministre de la Culture et de la Communication, a annoncé une application du décret dès octobre 2008, il ne peut pas être envisagé d'augmenter la publicité sur TF1 et M6 avant que la publicité ne soit réduite sur France Télévisions à compter du 1er janvier 2009.

2 - Même après l'entrée en vigueur de la suppression progressive de la publicité sur France Télévisions, aucune décision de cette nature ne doit être adoptée avant d'étudier l'évolution du marché publicitaire suite aux premières étapes de la suppression de la publicité sur France Télévisions. Il faut d'abord analyser comment s'effectuent les transferts de publicité, bénéficier d'une visibilité d'au moins 1 an sur l'évolution du marché avant de modifier la réglementation en vigueur.

3 - Tous les médias attendaient de l'arrêt de la publicité sur France Télévisions un impact positif sur le jeu de l'offre et la demande pour augmenter les prix. En effet, les prix de la publicité télévisuelle sont particulièrement bas en France, et impactent à la baisse les tarifs sur tous les autres médias. Ainsi, tous les médias (y compris TF1, M6) pourraient bénéficier de la hausse des tarifs publicitaires. Mais ce phénomène ne surviendra pas, si le volume des espaces disponibles augmente du fait du nouveau décret. Ces phénomènes méritent d'être analysés en amont, avant toute décision des pouvoirs publics.

4 - Si le besoin d'augmenter la durée de la publicité sur TF1 et M6 venait à se confirmer, une montée en charge modérée doit être étudiée dans un premier temps, avec notamment un passage de 6 à 7 minutes dans un premier temps, avant d'envisager une augmentation de 50% d'un coup. De même, la deuxième coupure, l'heure d'horloge... pourraient être différés. La conjugaison de toutes les mesures favorables à TF1 et M6 entraîne un effet massif qu'il convient d'éviter par des aménagements, au vu de l'évolution du marché, une fois que la publicité sera réduite sur France Télévisions."

Le Groupement pour le Pluralisme des Médias a commandé un sondage exclusif effectué par OpinionWay[1] auprès de la population française, dont les principaux enseignements sont :

    * - 81% des Français considèrent qu'il y a trop de publicité sur TF1, et 71% qu'il y a trop de publicité sur M6;

    * - 89% des Français se déclarent opposés à l'augmentation de la publicité sur TF1, M6, dont 56% tout à fait opposés;

    * - L'augmentation de la publicité sur les chaînes privées de télévision...

    * ð ... risque de porter atteinte à l'indépendance et au pluralisme des médias, pour 66% des Français;

    * ð ... a été décidée pour favoriser TF1, M6, pour 64% des Français;

    * ð ... va pénaliser les autres médias (presse écrite, radios, etc.), pour 56% des Français;

    * ð ... permettra d'augmenter la qualité des programmes sur TF1, M6, pour 20% des Français.

Le Groupement pour le Pluralisme des Médias regroupe des médias nationaux et régionaux (NRJ Group, Direct 8, Virgin 17, Télévisions Locales...), mais aussi des organismes professionnels représentatifs, dont le SPMI, le SPQR, le SPQN, le SIRRP-Média Radio, le SIRTI, l'ACCES... 

Campagne de pub terrain et presse pour téléGrenoble

Depuis ce jeudi 11 septembre, et pendant deux semaines, l'affiche ci-dessous sera diffusée sur 100 faces, dans 40 lieux de vie de l'agglomération grenobloise. A quoi s'ajoute une campagne dans la presse locale.

Les établissements concernés sont des bars, des restaurants, des boîtes de nuit, des Restos U et même une salle de fitness, pour toucher la cible urbaine de téléGrenoble. "Le but de cette campagne "indoor" est d'informer sur les multiples rediffusions de nos émissions quotidiennes d'actualité", indique la chaîne du Groupe Hersan Média. A savoir les rendez-vous CAP'INFO (le JT), et C'DIRECT (le talk-show). "Les horaires de ces émissions ont en effet été ajustés pour permettre à chacun de nos téléspectateurs de trouver une rediffusion qui convienne à son mode de vie".

Cette campagne est complétée par des encarts presse dans les supports de partenaires de la télévision locale qui paraitront en septembre et octobre : 

    - Paru-Vendu Grenoble (176 000 exemplaires)
    - Paru-Vendu Voiron (41 000 ex)
    - Les Nouvelles de l'Immobilier (60 000 ex)
    - Grenoble & Moi (30 000 ex)
    - MiniZap Grenoble (60 000 ex)
    - MiniZap Voiron (20 000 ex)
    - Spot (40 000 ex)

La télé du Pays de Châteaubriant devient Pulceo.com.

Vendredi 12 septembre, vous allez pouvoir découvrir la nouvelle version du site internet telepaysdechateaubriant.fr : pulceo.com

Sur Pulceo, vous pourrez retrouver des reportages consacrés au pays de Châteaubriant, son tissu économique, ses rendez-vous culturels, ses activités touristiques, associatives ou encore son patrimoine historique, etc...

Pour son lancement, Pulceo sera présent sur l'évènement majeur régional : La Foire de Béré du 12 au 15 septembre où ses animateurs intervieweront des acteurs locaux.

Sur le site, une vidéo de présentation et un avant-goût de la programmation.

Pulceo.com

Auditions publiques pour Bar-le-Duc, Épinal-Vittel, Privas, Toulon et Hyères le 22 octobre

Le Conseil a décidé d’entendre en séance publique les candidats admis dans le cadre des appels aux candidatures lancé le 18 mars 2008 pour l’édition de chaînes locales de la télévision numérique terrestre à Bar-le-Duc, Épinal-Vittel, Privas, Toulon et Hyères.

Ces auditions, d’une durée maximale de 25 minutes, auront lieu dans les locaux du Conseil, le mercredi 22 octobre 2008 à partir de 10 h 30, selon l’ordre suivant :

- zone de Bar-le-Duc - projet « Territorial TV » présenté par la société La Télé du Net ;

- zone d’Épinal-Vittel - projet « Images Plus » présenté par la SEM Images Plus, une fenêtre ouverte sur les Vosges ;

- zones de Toulon et Hyères - projet « Cap Toulon-Hyères» présenté par la société Cap Toulon-Hyères ;

- zone de Privas - projet « TV Ardèche» présenté par la société Medianum TV.

Auditions les 23 et 24 septembre pour Lille, Meaux, Dijon et Bayonne

Le Conseil a décidé d’entendre en séance publique les candidats admis dans le cadre des appels aux candidatures lancé le 19 février 2008 pour l’édition de chaînes locales de la télévision numérique terrestre à Lille, Meaux, Dijon et Bayonne.

Ces auditions, d’une durée maximale de 25 minutes, auront lieu dans les locaux du Conseil, selon l’ordre suivant :

Le mardi 23 septembre 2008 à partir de 15 h 30 :
- zone de Lille
- Projet « Grand’Place » présenté par la société Télévision Multilocale Nord-Pas de Calais ;
- Projet « Grand Lille TV » présenté par la SAS Grand Lille TV ;
- Projet « Télé Lille » présenté par l’association Télé Lille ;
 - zone de Meaux
- Projet « TV 77 » présenté par la société TV Sud 77 ;
- Projet « Demain Coquelicot » présenté par Demain Coquelicot SAS ;

Le mercredi 24 septembre 2008 à partir de 9 h 30 :
- zone de Dijon :
- Projet « Dijon Première » présenté par la SAS Dijon Première TV ;
- Projet « TV8 Burgonde » présenté par la SAS TV8 Burgonde ;
 - zone de Bayonne :
- Projet « ETB1 » présenté par la société EUSKAL TELEBISTA SA ;
- Projet « TV SUD » présenté par l’association MEDIA-LANDES ;
- Projet « TVPI » présenté par la Société Pyrénéenne de Télévision.

Les candidats déclarés recevables à Lille, Meaux, Dijon et Bayonne

Dans le cadre des appels aux candidatures lancés le 19 février 2008 pour la diffusion de chaînes locales sur la télévision numérique terrestre dans les zones de Lille, Meaux, Dijon et Bayonne, plusieurs candidatures ont été déclarées recevables par le CSA.

Pour la zone de Lille :
o la société de télévision multilocale Nord-Pas-de-Calais, pour le projet Grand’Place,
o la société Grand Lille TV, pour le projet Grand Lille TV,
o l’association Télé Lille, pour le projet Télé Lille.

Pour la zone de Meaux :
o la société TV Sud 77, pour le projet TV 77,
o la société Demain Coquelicot, pour le projet Demain Coquelicot.

Pour la zone de Dijon :
o la société Dijon Première TV pour le projet Dijon Première,
o la société TV8 Burgonde pour le projet TV8 Burgonde.

Pour la zone de Bayonne :
o la société Euskal Telebista pour le projet ETB1,
o l’association Média-Landes pour le projet TV Sud,
o la société Pyrénéenne de Télévision, pour le projet TVPI.